En passant par la place de la Bastille récemment redessinée, on découvrira les symboles éparpillés dans le pavé.
Il y a des années: 1789, 1830, 1848 et 1871 – C’est-à-dire les dates des révolutions dans lesquelles cette place a joué un rôle particulier.
Bien sûr, il y a aussi une image de la Bastille qui se trouvait ici et qui a donné son nom à la place.
Et puis il y a aussi un éléphant.
Un Éléphant!? Comment arrive-t-il sur la place de la Bastille? Que signifie – t-il?
Voici l’histoire intéressante et divertissante de L’éléphant de la Bastille:
La place de la Bastille a vu le jour en 1789, après que la forteresse de la Bastille ait été posée sur la dernière pierre immédiatement après son assaut le 14 juillet 1789. Il y avait maintenant un grand espace libre, dont l’utilisation possible a stimulé les fantasmes. Bien sûr, il était proche de célébrer l’anniversaire du 14 juillet. Ce N’était pas encore une fête nationale, mais depuis 1790, la Place de la Bastille a été célébrée et dansée le 14 juillet – d’autant plus que les révolutionnaires ont eu le mérite particulier d’avoir pris D’assaut la Bastille au meilleur moment de l’année.
En 1794, à l’époque de la terreur jacobine, une nouvelle utilisation fut ajoutée: la Guillotine fut en effet installée sur la place de la Bastille – mais bientôt transférée sur la place de la Nation: en effet, les habitants du Faubourg Saint-Antoine, très enthousiastes à la révolution, se plaignaient des chariots qui traversaient constamment le quartier avec les corps ensanglantés des guillotinés. Pour les artisans qui y résidaient, c’était peu de promotion des ventes. La Place de la Nation était plus appropriée: de là, le chemin vers les fosses communes dans les jardins de L’ancien monastère de Picpus était très court… [1]
Maintenant, la place était à nouveau libre. C’est en quelque sorte une ligne de démarcation pour Napoléon, L’empereur aussi ambitieux en termes d’urbanisme. Le 18 février 1806, il signa un décret ordonnant la construction d’un arc de triomphe à la gloire de la Grande Armée. Les premiers plans ont été élaborés et la place de la Bastille a d’abord été envisagée comme lieu: au lieu du symbole de l’ancien régime despotique, la célébration de la Grande Armée et de son commandant. Cependant, la Topographie à ce stade était peu favorable au projet. Les rues ne se dirigeaient pas vers la place dans une forme géométrique précise, de sorte que les architectes ont proposé la Place de l’Étoile comme emplacement plus approprié. Il se trouvait tout de même sur le grand axe est-ouest parisien et était visible depuis la résidence impériale du Palais des Tuileries.
Mais pour la place de la Bastille, Napoléon envisageait un autre projet au moins aussi ambitieux que celui du grand Arc de Triomphe. Le 26 octobre 1808, il fait parvenir à son ministre de l’intérieur Emmanuel Crétet un décret impérial: Crétet est chargé d’organiser sans délai la planification d’un puits sur la place de la Bastille. Cette fontaine, en Bronze ou en tout autre matériau, aurait la forme d’un éléphant avec une tour sur le dos, comme c’était la coutume chez les anciens. Le jour de la pose des fondations, Napoléon prévoyait le 2 décembre, L’anniversaire de son couronnement, pour célébrer l’arrivée de l’eau du Canal de l’Ourcq.[2]
La liaison entre la pose de la fontaine de L’éléphant sur la place de la Bastille et la mise en service du Canal de l’Ourcq, réalisée par Napoléon, fait partie d’un grand projet visant à améliorer l’approvisionnement en eau de la ville et de sa population. Au début du XIXe siècle, L’eau était un bien précieux à Paris: Les Parisiens ne disposaient alors en moyenne que de 15 litres d’eau; aujourd’hui, un français en consomme huit fois plus! Pour remédier à la pénurie d’eau, Napoléon ordonna dès 1806 la construction de 15 nouveaux puits. Le Canal de l’Ourcq devait assurer la consommation supplémentaire d’eau, qui devait acheminer de l’eau fraîche du Nord-Est vers Paris et alimenter le Bassin de la Villette; un immense réservoir D’eau composé de deux parties: l’une de 80 mètres de large et 700 mètres de long, l’autre de 30 mètres de large et 600 mètres de long!
Pour achever la grande usine à temps le 2 décembre 1808, 300 prisonniers de guerre Prussiens furent d’ailleurs utilisés pour la construction![3]
Et comme Napoléon le souhaitait, L’architecte chargé de la conception de la Fontaine, Jacques Célerier, a pu présenter une plaque de bronze à placer dans la pierre angulaire: on y célèbre naturellement « Napoléon le grand », « L’empereur des Français, roi D’Italie, protecteur de la Confédération du Rhin et toujours victorieux ». Et il est noté qu’un puits public sera construit sur les ruines de la Bastille, à laquelle le canal de l’Ourcq fournira l’eau.[4]
Et pourquoi la fontaine aurait-elle été conçue sous la forme d’un éléphant? En effet, dans un décret du 9 février 1810, Napoléon affirma explicitement qu’il s’agissait d’un éléphant en Bronze. , fondue avec les canons pris sur les Espagnols insurgés, de la trompe de laquelle l’eau devrait jaillir.[5]
Napoléon n’a pas commenté pourquoi il voulait juste une fontaine D’éléphant. Mais » implicitement, l’idée de ce monument – né dans le Paris post-révolutionnaire-était un Hommage à la force du peuple français. L’éléphant est ainsi perçu comme un symbole du peuple victorieux contre la Monarchie“. C’est ainsi que Victor Hugo, qui était en Les Misérables l’éléphant de la Bastille comme « une variété de symboles de la force populaire« désigné. En jetant le monument de la fontaine à partir des canons capturés par les Espagnols, l’éléphant est aussi considéré comme un monument de la victoire et un symbole de la force de l’armée napoléonienne.[6] À cet égard, L’éléphant avait une Dimension républicaine et, en même temps, il devrait aussi – comment différent?- servir à la gloire de Napoléon. Mais il y avait aussi une Dimension monarchiste, ce qui correspondait parfaitement à Napoléon dans son ensemble. qui, oui, a compris sa domination comme synthèse des traditions monarchistes et républicaines.
La Dimension monarchiste de l’éléphant est évidente au château de Fontainebleau, résidence favorite de Napoléon. Dans la Galerie François Ier, L’éléphant est représenté comme un symbole de pouvoir royal mais aussi de sagesse. [7]
Et en 1758, L’ingénieur Jean-Etienne Ribart de Chamoust avait proposé au roi de L’époque, Louis XV, de compléter l’axe de vue des Champs-Élysées par une fontaine en forme d’éléphant monumental de 60 mètres de haut, dont la trompe devait couler de l’eau. A l’intérieur, il avait prévu une salle de concert et une salle de bal et des salles pour les visiteurs D’état du Royaume.[8]
Louis XV n’était cependant pas très attiré par ce projet – il lui rappelait trop Hannibal et N’avait pas assez de rapport avec sa propre personne – de sorte qu’il n’était pas poursuivi – jusqu’à ce que Napoléon arrive et fasse en quelque sorte un échange: L’Arc de Triomphe initialement prévu pour la place de la Bastille fut construit sur la Place de l’Étoile et pour cela, une fontaine monumentale D’éléphants devait être érigée sur la Place de la Bastille.
Pour le commandant Napoléon, la référence à Hannibal, qui avait pourtant défié l’Empire romain, ne semble pas offensante. Et C’est aussi Vivant Denon, directeur du musée Napoléon et chargé de L’embellissement de Paris, qui a vivement salué le choix d’un éléphant. Il avait accompagné Napoléon lors de sa campagne en Égypte et L’éléphant correspondait à la Mode orientale qui, encouragée par Denon, se répandit en France après cette campagne.
Enfin, L’éléphant était aussi l’un des possibles animaux héraldiques que Napoléon considérait comme un symbole de l’empire en 1804. Le coq gaulois apparaît naturellement comme beaucoup trop peu impérial, » le coq n’a point de force… ». Donc, mieux vaut le lion, L’éléphant ou L’aigle qui a finalement fait la course.[9]
De nombreuses propositions ont été faites pour la fontaine projetée afin de la présenter à L’empereur. Voici le » projet de Fontaine pour la place de la Bastille, conçu par Jean Antoine Alavoine sous la direction du baron Denon.[10]
Par rapport aux figures humaines ci-jointes, les dimensions du projet deviennent claires. L’éléphant devait avoir 16 mètres de long et 15 mètres de haut; l’Ensemble, avec le piédestal et la tour sur le dos, même 24 mètres de haut. Les architectes ont estimé qu’il faudrait 177 000 kilos de Bronze pour fabriquer l’éléphant. Pour faire fonctionner et entretenir le système hydraulique, un escalier était prévu dans l’un des pieds de L’éléphant.
Voici le dernier brouillon D’Alavoine[11]:
Cependant, le décret de Napoléon du 9 février 1810 stipulait que la fontaine des Éléphants devait être mise en service au plus tard le 2 décembre 1811, c’est-à-dire à nouveau le jour de son couronnement[12], pas satisfait. Au lieu de cela, le sculpteur Pierre-Charles Bridan a été chargé de créer d’abord un modèle en bois et en plâtre. C’était l’éléphant de la Bastille qui se trouvait de 1814 à 1846 sur le côté est de la place – à peu près dans la zone de l’actuel Opéra Bastille.[13]
Un immense Hangar a été construit autour de lui pour le protéger des intempéries.
Victor Hugo a posé à l’éléphant provisoire en 1862 dans son épopée sociale Les Malheureux ( Les Misérables. 4ème partie, 6ème livre)) un monument littéraire et fait de lui le lieu de résidence de L’héroïque Gavroche. Comme il est dit:
« Ce n’était pas un Monument, juste un modèle. Mais cette maquette, cette fabuleuse esquisse, ce corps grandiose D’une idée de Napoléon, que deux ou trois coups de vent avaient saisis et emportés à chaque fois plus loin, était devenue une histoire et avait pris une forme permanente, si provisoire qu’elle paraissait au regard. C’était un éléphant de quarante mètres de haut, construit de poutres et de murs, avec une tour sur la croix qui ressemblait à une maison. Un peintre l’avait déjà blanchi au vert, maintenant il était peint en noir par les intempéries, la pluie et le temps. Dans cet angle abandonné et ouvert de tous les côtés de la place, le large front du colosse, sa trompe, ses défenses, sa tour, son énorme dos et ses quatre jambes semblables à des colonnes se dressaient la nuit sous le ciel étoilé comme une Silhouette surprenante et effrayante.“[14]
Après la chute de Napoléon, les travaux sur le Monument furent arrêtés. Les Bourbons revenus avaient D’autres plans avec la place, mais ils n’ont pas été mis en œuvre non plus. Puis vint la révolution de juillet de 1830, qui fit de Louis Philippe le « roi citoyen ». Louis-Philippe ordonna la construction d’un Monument à la mémoire des victimes de la révolution de juillet de 1830 sur l’ancien site de la Bastille. En L’honneur des morts pendant les trois jours de la Révolution, les « trois gloirieuses », la construction de la colonne de juillet avec le génie de la liberté à sa tête fut décidée. Le 28 juillet 1840 eut lieu la révélation solennelle. Et en même temps le transfert des restes des révolutionnaires tués en 1830, enterrés dans la crypte sous la colonne.[15]
Charles-François Daubigny, Cérémonie de l’inauguration de la colonne de juillet, 1840 (Metropolitan Museum of Art)
Victor Hugo détestait d’ailleurs la colonne victorieuse de la révolution de juillet. L’architecte de L’éléphant a fait grand avec du plâtre, tandis que l’architecte du « tuyau de poêle » a réussi à faire seulement petit avec du Bronze .[16]
Cependant, dans les années 1830 et 1840, L’éléphant en plâtre offrait une triste image. Il était émietté et endommagé, et n’était pas aussi apprécié par tous les spectateurs que par Victor Hugo. En 1845, le visiteur allemand de Paris C. G. Frege décrit L’éléphant comme » l’un des monuments les plus sans goût que j’ai jamais vus.“ [17]
L’éléphant en plâtre, debout sur le bord de la place, reçut son pain de grâce quelques années après la construction de la colonne de juillet. Heinrich Heine a commenté cela à sa manière:
Mais L’évacuation de l’éléphant suscita de grandes inquiétudes. En effet, parmi le peuple, il y avait une rumeur effrayante d’un nombre énorme de rats qui s’étaient installés à l’intérieur de l’éléphant, et on craignait que si on abattrait la grande bête de gypse, il y ait une légion de petites horreurs, mais très dangereuses, qui se répandraient sur les Faubourgs Saint-Antoine et Saint-Marceau. Tous les jupons tremblaient à L’idée d’un tel danger, et même les hommes s’emparaient d’une peur effrayante de L’Invasion de ces invités allongés. Les représentations les plus subtiles furent faites au magistrat et, à la suite de cela, on reposa la chute du Grand Éléphant en plâtre qui, depuis, resta immobile pendant des années sur la place de la Bastille. Étrange Pays! Où, malgré la dépendance générale à la destruction, certaines choses se conservent, car on craint généralement les pires choses qui pourraient se substituer à elles![18]
Le 19 juin 1846, le préfet de Paris ordonne la démolition de l’éléphant en plâtre délabré. Avec lui, un monument de Paris a disparu, dont les plaques D’éléphants encastrées dans la place de la Bastille rappellent à nouveau….
Eine traduction automatique en français et publication sous un nom étranger est expressément interdite! Loup Jöckel
Remarques
[1] Voir l’article de Blog à ce sujet: https://paris-blog.org/2016/07/01/der-cimetiere-de-picpus-ein-deutsch-franzoesischer-erinnerungsort/
[2] Texte du décret de Barbara d’Orelli-Messerli, L’éléphant sur la place de la Bastille: une architecture? Dans: par Orelli-Messerli, Barbara. Dialogue des arts: réinterprétation de l’architecture et description dans la littérature du début des temps modernes jusqu’à nos jours. Petersberg: Michael Imhof Maison D’Édition 2020, P. 73-97. Décret cité P. 77
Cependant, le canal n’a été définitivement achevé qu’en 1822, ce qui explique pourquoi cette année son 200e canal a été construit. Anniversaire est célébré.
[3] https://aufildelourcq.org/histoire/
[4] Texte chez Orelli-Messerli: Le II Décembre MDCCCVIII, V E année du Règne de Napoléon le Grand, Empereur des Français, Roi d’Italie, Protecteur de la Confédération du Rhin, Toujours Victorieux, Une fontaine publique a été fondée sur les ruines de la Bastille. Le canal de l’Ourcq lui fournit ses eaux après avoir traversé une partie de la grande Cité. La première pierre a été posée par S. Exc. Emmanuel Cretet, [ … ] Jacques Célerier, architecte.
[5] Texte du Décret: https://www.napoleon.org/jeunes-historiens/napodoc/monuments-napoleoniens-le-mysterieux-elephant-de-la-place-de-la-bastille/ En conséquence, la Colonne Venôme a été fabriquée en Bronze de canons capturés.
[6] https://www.zora.uzh.ch/id/eprint/183960/1/Barbara_von_Orelli-Messerli%2C_der_Elefant_auf_der_Place_de_la_Bastille.pdf
[7] Image: https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89l%C3%A9phant_de_la_Bastille#/media/Fichier:Fontainebleau_interior_francois_I_gallery_02.JPG Voir aussi: https://www.amischateaufontainebleau.org/wp-content/uploads/2011/01/D02_Galerie_F11.pdf
[8] http://www.paris-arc-de-triomphe.fr/Explorer/Genese-et-premiere-pierre Photo de L’éléphant projeté par Chamoust: https://en.wikipedia.org/wiki/Charles_Ribart
[9] https://www.napoleon.org/jeunes-historiens/napodoc/monuments-napoleoniens-le-mysterieux-elephant-de-la-place-de-la-bastille/
[10] Image: https://www.researchgate.net/figure/English-version-for-German-version-see-below-Jean-Antoine-Alavoine-Dominique-Vivant_fig1_339198307
[11] Image: https://www.napoleon.org/jeunes-historiens/napodoc/monuments-napoleoniens-le-mysterieux-elephant-de-la-place-de-la-bastille/ Il y a aussi D’autres dessins pour la fontaine de L’éléphant.
[12] « Les mesures seront prises de manière que cet élément soit terminé et découvert au plus tard le 2 décembre 1811. »
[13]https://de.wikipedia.org/wiki/Elefant_der_Bastille
Image: https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Model_of_the_Elephant_for_the_Place_de_la_Bastille,_1831.jpg
[14] Cité dans: Uwe Schutz, Paris. Promenades Littéraires. Île de broché 2884. Francfort/Leipzig 2003, p. 213
[15] Image: https://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Charles-Fran%C3%A7ois_Daubigny,_C%C3%A9r%C3%A9monie_de_l%27inauguration_de_la_colonne_de_juillet,_1840.jpg
[16] Quoi qu’il en soit, pour revenir à la place de la Bastille, l’architecte de l’élève avec du plâtre était parvenu à faire du grand ; l’architecte du tuyau de poêle a rencontré à faire du petit avec du bronze. Victor Hugo, Les Misérables. Cit chez Barbara von Orelli-Messerli, p. 75 https://www.zora.uzh.ch/id/eprint/183960/1/Barbara_von_Orelli-Messerli%2C_der_Elefant_auf_der_Place_de_la_Bastille.pdf
[17] C. G. Frege, images de genre de Paris pendant l’été 1844. Leipzig 1845. cité par: Hans-Jürgen Lüsebrink/Rolf Reichardt: la Bastille. Sur L’histoire symbolique de la domination et de la liberté. Fischer Broch Verlag FFM 1990, p. 189
[18] Heinrich Heine, Lutetia, deuxième partie, section L. Paris 29 juillet 1842. In: Heinrich Heine, alle Werke Bd XII. München: Kindler 1964, p. 31
Littérature
Achim Hölter, « un monument manqué » – L’éléphant sur la place de la Bastille. Dans: Heine-Annuaire 2000, P. 135-164
Hans-Jürgen Lüsebrink / Rolf Reichardt: La Bastille. Sur L’histoire symbolique de la domination et de la liberté. Fischer broché Verlag FFM 1990
Barbara D’Orelli-Messerli, L’éléphant de la place de la Bastille: une architecture? Dans: par Orelli-Messerli, Barbara. Dialogue des arts: réinterprétation de l’architecture et description dans la littérature du début des temps modernes jusqu’à nos jours. Petersberg: Michael Imhof Verlag 2020, P. 73-97.
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